8 Wonky and Wonderful Woodpecker Adaptations
Chaque hiver, je suis absolument ravi de voir des pics dans les bois de Virginie. Les pics sont un élément bienvenu de mes randonnées par temps froid, lorsque les observations de la faune deviennent plus rares. J’ai quelques curiosités à propos de ces oiseaux. Par exemple, comment font-ils pour marteler les arbres toute la journée sans subir de dommages au cerveau ? Comme ils ne chantent pas, comment communiquent-ils ? Il s’avère que les réponses se trouvent dans quelques adaptations incroyables qui aident les pics à survivre.
Dans un bec ciseau
Les pics sont souvent caractérisés comme ayant un « bec ciseau » parce qu’ils picorent dans le bois vivant ou mort pour trouver des larves ou construire un nid. Les cellules de l’extrémité de leur bec sont constamment remplacées, ce qui les empêche de s’user avec le temps.
L’oisillon du pic de Nuttall par Anthony Mancini, participant au National Wildlife Photo Contest.
Forme du trou
Vous pourriez être en mesure de savoir quelle espèce de pic était dans les parages par la forme des trous laissés dans les arbres. Le pic épeiche crée une forme rectangulaire, que vous pouvez comparer au motif du pic-vert ci-dessous.
Le pic-vert à ventre jaune et le motif de trous distinct de l’espèce par Allen Phelps, participant au National Wildlife Photo Contest.
Langue
La langue du pic-vert, cependant, varie en fonction de son régime alimentaire. Certaines espèces ont une langue plus longue que leur bec afin d’extraire les insectes d’un trou. Les pics ont également un appareil hyoïde allongé (os, muscles, cartilage reliés à la langue), ce qui permet à leur langue de s’étendre sur des longueurs incroyables. Les pics à ventre rouge, par exemple, ont une langue qui s’étend jusqu’à trois fois la longueur de leur bec ! Pendant ce temps, les suceurs de sève ont une langue plus courte avec une extrémité en forme de brosse pour laper la sève des arbres.
La texture détaillée de la langue d’un pic des glands par les participants au concours national de photos de la faune, Hal et Kirsten Snyder.
4. Plumes de la queue
Les pics utilisent leur queue rigide comme étai lorsqu’ils grimpent afin de s’équilibrer.
Le pic épeiche utilise sa queue arrière pour s’équilibrer. Photo d’Anita Merrigan, participante au National Wildlife Photo Contest.
Pieds
Leurs solides pieds « zygodactyles » sont spécifiquement adaptés pour s’accrocher et s’agripper aux arbres. Deux orteils sont orientés vers l’avant, et deux vers l’arrière. La plupart des oiseaux chanteurs ont trois doigts orientés vers l’avant, et un vers l’arrière.
Le pic mineur utilise ses pieds spécialement adaptés pour s’accrocher à l’arbre, même à l’envers. Photo de William Osterloh, participant au concours national de photos de la faune.
Protection du cerveau
Ils peuvent picorer un total de 8 000 à 12 000 coups de bec par jour ! Heureusement, le crâne du pivert est construit pour absorber ce choc. Des attaches tendues à la base du bec du pic et autour du cerveau aident à minimiser les dommages au cerveau.
Pic à tête rouge picorant un site de nidification par le participant au concours national de photos de la faune Stephen Patten.
7. Communication par tambour
Les pics ont une forme unique de communication, appelée tambourinage. Ils picorent rapidement sur un objet résonnant pour créer un motif sonore. Ils font cela pour attirer un compagnon ou annoncer leur territoire. C’est une des raisons pour lesquelles les pics peuvent picorer vos gouttières.
Les pics doivent se protéger des particules de bois volantes. Photo d’Eileen Sullivan, participante au National Wildlife Photo Contest.
Plumes du nez
Les pics à bois ont des plumes hérissées au-dessus de leurs narines pour empêcher l’inhalation de particules de bois lorsqu’ils cisèlent.
Un pic-bois jetant un coup d’œil dans une cavité d’arbre par Anthony Mancini, participant au National Wildlife Photo Contest.
Yeux
Avec tous les débris qui volent autour lorsque les pics burinent, des lunettes de protection seraient utiles. Au lieu de cela, ils ont une troisième paupière translucide (appelée membrane nictitante), qui peut être tirée en travers de l’œil pour se protéger, tout en maintenant la visibilité. Elle se nettoie également lorsqu’elle se déplace à travers l’œil.
La membrane nictitante d’un vanneau masqué lorsqu’elle se ferme. « Bird blink-edit » by Toby Hudson – Own work. Licencié sous CC BY-SA 3.0 via Wikimedia Commons
Nourriture
Les pics sont tout à leur protéine, qu’elle provienne de larves, de noix ou de graines. Le suif – courant dans les mangeoires de jardin – peut également être une source d’énergie importante pour les pics.
Pic épeiche visitant une mangeoire à suif de jardin par Beau Liddell, participant au National Wildlife Photo Contest.
Profitez des pics cet hiver
Vous pouvez attirer les pics dans votre cour en leur fournissant de la nourriture ou en laissant des chicots. Vous ferez un pas de plus pour faire de votre jardin un habitat pour la faune sauvage !
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